Taos Amrouche
Marie-Louise, dite Marguerite Taos Amrouche, née le à Tunis et morte le à Saint-Michel-l'Observatoire (Alpes de Haute-Provence), est une artiste algérienne, écrivaine d'expression française et interprète de chants traditionnels kabyles, morte à l'âge de 63 ans. Elle est la fille de Fadhma Aït Mansour Amrouche et la sœur de Jean Amrouche.
son premier roman, Jacinthe noire, est publié en 1947. Son œuvre littéraire, au style très vif, est largement inspirée par la culture orale de Kabylie dont elle est imprégnée par l'influence de sa mère, mais aussi par son expérience de femme. En signe de reconnaissance envers sa mère, qui lui a transmis tant de chansons, contes et éléments du patrimoine oral, elle signe Marguerite-Taos le recueil Le Grain magique, joignant à son prénom celui sous lequel sa mère a reçu le baptême.
Parallèlement à sa carrière littéraire, elle interprète de très nombreux chants amazigh. Ces textes sont par ailleurs traduits par son frère Jean. Dotée d'une voix exceptionnelle, elle se produit sur de nombreuses scènes, comme au Festival des Arts Nègres de Dakar en 1966. Seule l'Algérie lui refuse les honneurs : elle n'est pas invitée au Festival culturel panafricain d'Alger en 1969. Elle s'y rend tout de même pour chanter devant les étudiants d'Alger.
Taos Amrouche a participé à la fondation de l'Académie berbère de Paris en 1966.
Elle fut l'épouse du peintre français André Bourdil, Prix Abd-el-Tif 1942.
Taos Amrouche a recueilli des contes que sa mère lui a racontés dans son enfance: ce sont des récits venus de Kabylie, du côté des hautes montagnes qui bordent le nord du Sahara.
son premier roman, Jacinthe noire, est publié en 1947. Son œuvre littéraire, au style très vif, est largement inspirée par la culture orale de Kabylie dont elle est imprégnée par l'influence de sa mère, mais aussi par son expérience de femme. En signe de reconnaissance envers sa mère, qui lui a transmis tant de chansons, contes et éléments du patrimoine oral, elle signe Marguerite-Taos le recueil Le Grain magique, joignant à son prénom celui sous lequel sa mère a reçu le baptême.
Parallèlement à sa carrière littéraire, elle interprète de très nombreux chants amazigh. Ces textes sont par ailleurs traduits par son frère Jean. Dotée d'une voix exceptionnelle, elle se produit sur de nombreuses scènes, comme au Festival des Arts Nègres de Dakar en 1966. Seule l'Algérie lui refuse les honneurs : elle n'est pas invitée au Festival culturel panafricain d'Alger en 1969. Elle s'y rend tout de même pour chanter devant les étudiants d'Alger.
Taos Amrouche a participé à la fondation de l'Académie berbère de Paris en 1966.
Elle fut l'épouse du peintre français André Bourdil, Prix Abd-el-Tif 1942.
Taos Amrouche a recueilli des contes que sa mère lui a racontés dans son enfance: ce sont des récits venus de Kabylie, du côté des hautes montagnes qui bordent le nord du Sahara.
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