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Découverte de l’Amérique par les Amazighs ?

Découverte de l’Amérique par JUBA II ? 

 Un sarcophage en or aurait été retrouvé dans une grotte de l’Illinois aux États-Unis, cela "pourrait" être une preuve de voyages transocéaniques précolombienne entre le « vieux monde » et les Amériques.
Heureusement la plupart des artefacts retirés de la grotte ont été photographiée grâce aux efforts de James Schertz et Fred Rydholm. Divers chercheurs se sont penchés sur cette collection, et les archéologues n’ont pas tardés à souligner les disparités.
Après analyse des objets par Cook ce dernier a confirmé qu’ils étaient probablement les restes d’une expédition de Libyan–Iberian. Il a identifié le roi Ptolemaeus de Mauritanie I (BC 1 – 40 AD), fils de Cléopâtre Sélène et roi Juba II (52-50 av. J.-C. – 23 AD), comme l’homme responsable de ce voyage transocéanique.
Puisse cela être possible ? La théorie est que: en raison de la puissance économique de la Mauritanie l’Empire romain a décidé de remédier à ce déséquilibre…C’est ainsi que le roi mauritanien Juba II et sa famille devaient s’enfuir. Il est possible qu’il ait utilisé la connaissance de la mer de ses ancêtres, les Phéniciens : il savait que l’emplacement des Açores, dont il a réussi à vendre à des prix plus élevés à Rome et ailleurs les marchandises.
Ainsi, si les artefacts de la grotte de Burrows sont vrais, il est possible que la famille royale mauritanienne en naviguant plus à l’ Ouest, au-delà de l’archipel des Açores, a échoué aux Amériques.

S’ils finissent en Amérique centrale, peut-être ont- ils remonté le fleuve Mississippi vers le nord jusqu’à atteindre l’Illinois — où ils s’installèrent, loin des querelles du vieux monde.
Les artefacts de la grotte ne sont pas la seule preuve de la présence d’un peuple énigmatique dans le premier siècle de notre ère. Selon une légende amérindienne, la région contient la tombe d’un roi qui n’était pas originaire de l’Amérique. La tribu connaissait une fois l’emplacement, mais cette information est maintenant perdus. Cet endroit serait identique à la grotte de Borrows. En outre, il est connu que Juba II ordonne un sarcophage en or pour le mausolée qui avait été construit pour lui à Tipaza (en Algérie moderne). Ce fut l’une des possessions prisées que les Romains avaient essayé de mettre la main dessus, mais ils n’ont jamais trouvé le sarcophage ou le roi mauritanien.L’ Histoire officielle est muette sur le sort des deux. Pourtant, il est clair que le roi Juba II après sa mort ainsi que son sarcophage doivent avoir fini quelque part, peut-être dans l’Illinois?
Extrait, résumé et traduit de l’anglais à partir de divers sources
Juba II le scientifique
Les loisirs que lui laissait l’administration de son royaume, Juba II les consacrait à l’étude et bientôt, il acquit dans les sciences et dans les lettres une grande réputation.
Toujours désireux de connaître ses origines, il fit remonter sa généalogie jusqu’à Hercule qui épousa la Libyenne Tingé (Tendja) veuve d’Antée de la légende grecque.
IL fit construire de nombreux édifices publics, des places ou forums, des théâtres, des thermes, des temples, des jardins publics… Beaucoup de vestiges confirment la grandeur de Juba II qui possédait une grande puissance de travail et d’assimilation (sculpture, architecture…) Son œuvre était d’une grande valeur mais ne fut pas conservée par le temps bien qu’elle ait permis à plusieurs écrivains grecs et latins d’y puiser leur documentation tant elle était riche.
Il expédiait de nombreux copistes dans les capitales du monde civilisé pour lui rapporter les découvertes des penseurs de l’époque, nonobstant cela, il organisa des expéditions chargées de découvrir les sources du Nil et d’étudier l’archipel des Canaries.
Il écrivit un traité sur son pays natal intitulé Libuca; en trois volumes, contenant géographie, histoire naturelle, mythologie, croyances de toutes sortes…
Il laissa des écrits sur les Assyriens, l’Arabie, les plantes, l’histoire romaine… Sans doute était-il dans cette quête de ses origines et voulait-il laisser ce qu’il lui manquait…
Très connu des Grecs et des Romains en tant que savant, artiste, homme de lettres, auteur de plusieurs traités sur les lettres, la peinture, le théâtre, l’histoire, la géographie et la médecine. Il fut à l’origine de la découverte de l’euphorbe (à laquelle il a donné ce nom, qui était celui de son médecin personnel) et son traité sur cette plante inspira, plus tard, plusieurs médecins grecs.
Ses manuscrits furent autant de références pour plusieurs historiens grecs, tels que Tite-Live, Alexandre de Milet, Diodore de Sicile. Plaine qui le citait dans ses livres dit de lui « qu’il était encore plus connu pour son savoir que pour son règne ». Les Grecs lui érigèrent une statue auprès de la bibliothèque du gymnase de Ptolémée à Pausanias. Son règne fut marqué par son sens de la démocratie et l’attention qu’il eut pour son peuple.
tombeauSon épouse Cléopâtre Séléné, n’oublia jamais quant à elle ses origines grecques et berbère à la pyramide égyptienne par sa forme extérieure (forme cylindrique couvrant une base carrée et coiffée d’un cône en gradins).égyptiennes, elle obtint de Juba qu’ils soient tous deux ensevelis dans un édifice funéraire semblable aux pyramides d’Égypte. Ce qui amena le roi à faire construire ce ombeau proche de Tipasa appelé de nos jours (pour des raisons que l’on ignore) « le tombeau de la chrétienne » .

Voilà un pan de l’histoire des Grandes découvertes complètement occulté des manuels scolaires
Nous avons tous appris à l’école que le grand navigateur Christophe Colomb a officiellement découvert l’Amérique en l’an de grâce 1492. La même année Isabelle de Castille boutait hors d’Ibérie les derniers Sarrazins de Grenade. Mais ce que l’on sait moins, c’est que les Maures d’Espagne n’ont pas tous rallié l’Afrique du Nord.
Nombre d’entre eux, pour la plupart descendants des soldats berbères de l’armée de Tarik Ibn Ziyad (qui a donné son nom au piton rocheux de Gibraltar, le Djebel Tarik en arabe) et qui avait conquis l’Andalousie huit siècles plus tôt, sont restés et se sont progressivement intégrés à la nouvelle Espagne chrétienne.
Martín Alonso Pinzón, le chef de la principale famille d'armateurs de Palos (aujourd’hui Huelva) d’où Colomb s’est élancé à l’assaut de l’Atlantique pensant rallier les Indes par l’Ouest, est l’un d’entre eux.
C’est lui, d’après Le Point.f qui raconte cette folle épopée, qui a armé la flotte de Colomb des trois célèbres Caravelle : La Santa Maria, la Nina (commandée par Martín Alonso Pinzón, frère de Martin) et la Pinta (commandée par Martin lui-même).
Alors qu’il désepérait de trouver des navires et un équipage expérimenté pour son expédition, «miracle, un beau jour, Colomb reçoit la visite de Martín Alonso Pinzón, le chef de la principale famille d'armateurs de Palos, d'origine berbère. L'homme a bien réfléchi, il se dit que, si Colomb a raison en cherchant les Indes à l'ouest, c'est la fortune assurée. Il décide de tenter le coup en lui proposant une association. Dès lors, c'est du gâteau, Pinzón fournit deux caravelles de belle allure… » raconte Le Point.fr.
En raison d’une avarie, les navires accostent aux Canaries.
«Les deux frères Pinzón proposent à Colomb de faire escale à La Gomera, île gouvernée par leurs cousins les Gomeros, où ils sont accueillis le 11 août 1492 par Doña Beatriz de Bobadilla (ou de Bouabdallah). Les trois caravelles sont chargées de fruits et d'animaux vivants. Quelques volontaires dans la famille des Gomeros se joignent à l'expédition».
Le début d’une aventure sans précédent dans l’histoire des conquêtes humaines…

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